Le pape Paul VI prie pour la libération de son ami Aldo Moro. Les partisans de la fermeté et ceux de la négociation s'affrontent. Le gouvernement tergiverse.
En ce début de semaine sainte, le pape Paul VI prie pour la libération de son ami Aldo Moro. Durement affecté par l'événement, il missionne un cardinal pour agir dans le sens d'une négociation et fait savoir au président du Conseil Andreotti que le Vatican a rassemblé une importante somme d'argent. Les partisans de la fermeté et ceux de la négociation s'affrontent. Le pape, lui, s'interroge sur les réelles motivations du gouvernement. À la suite d'une lettre de Moro et de la visite de l'épouse de celui-ci, Leonora, il décide de s'adresser directement aux terroristes.