Plus d'une personne LGBTI+ sur deux s'est déjà sentie discriminée dans son parcours de soin, d'après une étude de 2018. Certains patients changent de médecins, d'autres renoncent aux soins par la suite et nombre d'entre eux perdent confiance. Pourtant, les minorités sexuelles et de genre ont plus de risques de souffrir de troubles psychologiques.
Plus d'une personne LGBTI+ sur deux s'est déjà sentie discriminée dans son parcours de soin, d'après une étude de 2018. Certains patients changent de médecins, d'autres renoncent aux soins par la suite et nombre d'entre eux perdent confiance. 40 % des personnes LGBTI+ n'ont jamais parlé de leur identité de genre ou orientation sexuelle à des professionnels de santé. Pourtant, du fait même des discriminations dont elles sont victimes, les minorités sexuelles et de genre ont plus de risques de souffrir de troubles psychologiques et de dépression. Alors, pourquoi les professionnels de santé ne parviennent-ils pas à accueillir tous les patients ?