Le cinéaste Orson Welles évoque dans cet essai les différents escrocs qu'il a connus. Il s'attache plus particulièrement au parcours d'un peintre, faussaire.
Déguisé en prestidigitateur, Orson Welles déclare, sur un quai de gare, face à la caméra de François Reichenbach, qu'il va dire toute la vérité sur Elmyr de Hory, l'un des plus grands faussaires au monde. Celui-ci peignait des Matisse, des Monet ou des Picasso, certifiés comme authentiques par les experts...