Pendant sept ans, Bruno Sulak, un légionnaire en cavale, s'est joué de la police et de la justice françaises en commettant braquage sur braquage à visage découvert. A plusieurs reprises, le piège s'est refermé sur lui, mais il n'est jamais resté bien longtemps en prison : ses ruses et son charme ravageur finissant pas avoir raison de l'administration pénitentiaire.
Pendant sept ans, Bruno Sulak, un légionnaire en cavale, s'est joué de la police et de la justice françaises en commettant braquage sur braquage à visage découvert. A plusieurs reprises, le piège s'est refermé sur lui, mais il n'est jamais resté bien longtemps en prison : ses ruses et son charme ravageur finissant pas avoir raison de l'administration pénitentiaire. Entre crainte et fascination, la presse s'est vite passionnée pour celui qu'elle a baptisé le "nouvel Arsène Lupin". C'est en 1983, alors que toutes les polices de France étaient à ses trousses, qu'il a réalisé son coup le plus audacieux : la bijouterie Cartier, de Cannes, où il a empoché 40 millions de francs de bijoux, déguisé en tennisman. Une énième évasion, à la suite de son incarcération, s'est cette fois mal terminée.