Dix ans en arrière, ils étaient encore considérés par le marketing et la publicité comme un public peu intéressant, sous prétexte qu'ils étaient peu réceptifs aux propositions du marché. Et c'est précisément ceux-là mêmes qu'on essaie d'influencer aujourd'hui. C'est la génération des enfants du baby-boom, ceux qui ont grandi à l'époque du bien-être, avec la télévision commerciale, habitués à bouger. La génération la plus nombreuse et la plus riche et qui n'allait pas échapper aux visées d'un marché en crise qui peine à trouver de nouveaux débouchés.