Depuis 1999, une loi permet aux légionnaires blessés en opération d'obtenir la nationalité française, non «par le sang reçu» mais «par le sang versé».
Depuis 1999, une loi, méconnue des Français, permet aux légionnaires blessés en opération d'obtenir la nationalité française de plein droit. Elle marque ainsi un tournant dans l'histoire politique française car, pour la première fois, la République donne à un légionnaire atteint physiquement la possibilité de devenir l'un de ses fils non «par le sang reçu» mais «par le sang versé».