Maya Kamaty ne rentre dans aucune case. Dèjà lors de l'édition 2014 des Francofolies de La Réunion, elle lançait une passerelle entre le Maloya de son île chérie, La Réunion, et une pop moderne, entre le désir de faire germer ses racines et de les baigner de sonorités actuelles. Huit ans plus tard, l'autrice-compositrice-interprète poursuit le chemin défriché dans son second album "Pandiyé", qui empruntait déjà aux influences plus électriques.
Maya Kamaty ne rentre dans aucune case. Dèjà lors de l'édition 2014 des Francofolies de La Réunion, elle lançait une passerelle entre le Maloya de son île chérie, La Réunion, et une pop moderne, entre le désir de faire germer ses racines et de les baigner de sonorités actuelles. Huit ans plus tard, l'autrice-compositrice-interprète poursuit le chemin défriché dans son second album "Pandiyé", qui empruntait déjà aux influences plus électriques.