A la tête de son quartette, Anthony Coleman perpétue les rythmes qui l'ont rendu célèbre, une musique «brûlée par la lumière», aux confluences de la grande tradition du piano jazz, de la création contemporaine et de la musique klezmer. Avec ses trois acolytes, il était sur la scène du festival Banlieues bleues, en avril 2010.
A la tête de son quartette, Anthony Coleman perpétue les rythmes qui l'ont rendu célèbre, une musique «brûlée par la lumière», aux confluences de la grande tradition du piano jazz, de la création contemporaine et de la musique klezmer. Avec ses trois acolytes, il était sur la scène du festival Banlieues bleues, en avril 2010.