L'Argentine fut en 1945, le pays dont les chemins de fer étaient les plus prospères, avec un réseau moderne et très extensif. Depuis, les crises se sont succédées et le train a lentement décliné au pays des gauchos. Aujourd'hui, la gare de Retiro à Buenos Aires, ou plutôt les gares, puisqu'il s'agit de trois gares situées côte-à-côte, témoignent de cette splendeur passée. Mais l'Argentine possède encore le 8ème réseau ferré du monde, et le complexe ferroviaire de Retiro en est la tête de pont. Avec son architecture de " style français ", les bâtiments certes un peu délabrés, abritent toujours le passage des argentins se rendant vers les confins du pays, ou les banlieues de la plus européenne des villes sud-américaines que constitue Buenos Aires.
L'Argentine fut en 1945, le pays dont les chemins de fer étaient les plus prospères, avec un réseau moderne et très extensif. Depuis, les crises se sont succédées et le train a lentement décliné au pays des gauchos. Aujourd'hui, la gare de Retiro à Buenos Aires, ou plutôt les gares, puisqu'il s'agit de trois gares situées côte-à-côte, témoignent de cette splendeur passée. Mais l'Argentine possède encore le 8ème réseau ferré du monde, et le complexe ferroviaire de Retiro en est la tête de pont. Avec son architecture de " style français ", les bâtiments certes un peu délabrés, abritent toujours le passage des argentins se rendant vers les confins du pays, ou les banlieues de la plus européenne des villes sud-américaines que constitue Buenos Aires.