A 24 heures d'avion de Bruxelles, la Polynésie française accueille chaque année 200 000 touristes, qui viennent passer leurs vacances dans cette France du bout du monde. Mais à Papeete, sur l'île de Tahiti, deux mondes à part se côtoient sans jamais se mélanger : d'un côté, les Blancs (surnommés les «Popa'a»), qui tiennent l'économie, et de l'autre, les Polynésiens, qui vivent dans les bidonvilles dans une extrême pauvreté.