Après la création de la «Reine morte» au théâtre et quelques différends avec la critique, Henry de Montherlant trouve du réconfort dans la solitude.
En 1941, Henry de Montherlant accepte, à la demande de son éditeur, de traduire une partie de l'oeuvre d'Antonio de Guevara. Tandis qu'il crée simultanément «La Reine morte» au théâtre, la critique s'obstine à voir l'influence de Guevara dans la pièce. Dès 1944, à Paris, Montherlant s'installe dans une sorte de retraite solitaire.