C'est chez lui, près de Montmartre et Pigalle, à Paris, que Jérôme Colin retrouve Etienne Daho. Direction rue des Récollets, où le chanteur veut acheter des disques. Place Blanche, boulevard de Clichy, ils découvrent le quartier populaire où Etienne Daho a passé une partie de son enfance après son retour d'Algérie.
C'est chez lui, près de Montmartre et Pigalle, à Paris, que Jérôme Colin retrouve Etienne Daho. Direction rue des Récollets, où le chanteur veut acheter des disques. Place Blanche, boulevard de Clichy, ils découvrent le quartier populaire où Etienne Daho a passé une partie de son enfance après son retour d'Algérie.
C'est chez lui, près de Montmartre et Pigalle, à Paris, que Jérôme Colin retrouve Etienne Daho. Direction rue des Récollets, où le chanteur veut acheter des disques. Place Blanche, boulevard de Clichy, ils découvrent le quartier populaire où Etienne Daho a passé une partie de son enfance après son retour d'Algérie. Ses tantes avaient ouvert une brasserie, le «French-cancan», où le jeune Daho restait vissé au juke-box pour écouter de la soul. Mais le quartier a changé. Le cinéma où il a passé beaucoup de ses après-midi et le supermarché où il achetait quantité de 45 tours ont disparu. C'est à la Locomotive, petite scène très prisée dans les années 60, qu'il a gravé sa toute première chanson, dans une boîte d'enregistrement automatique.