En 1963, Jean-Marie Gustave Le Clézio n'avait que 23 ans quand il a publié son premier livre «Le Procès-verbal», qui a reçu le prix Renaudot. L'auteur a toujours eu l'écriure dans la peau. Ses romans et essais dénoncent la société occidentale, sa domination injustifiée sur d'autres peuples, et la brutalité de la vie urbaine. Son oeuvre lui a valu de recevoir le prix Nobel de littérature en 2008.
En 1963, Jean-Marie Gustave Le Clézio n'avait que 23 ans quand il a publié son premier livre «Le Procès-verbal», qui a reçu le prix Renaudot. L'auteur a toujours eu l'écriure dans la peau. Ses romans et essais dénoncent la société occidentale, sa domination injustifiée sur d'autres peuples, et la brutalité de la vie urbaine. Son oeuvre lui a valu de recevoir le prix Nobel de littérature en 2008.
En 1963, Jean-Marie Gustave Le Clézio n'avait que 23 ans quand il a publié son premier livre «Le Procès-verbal», qui a reçu le prix Renaudot. L'auteur a toujours eu l'écriure dans la peau. Enfant, comme il n'avait pas de papier, il remplissait les coupons de ravitaillement de son grand-père pendant la guerre. Puis, à l'âge de 7 ans, sur le bateau qu'il a pris pour aller retrouver son père, bloqué au Nigéria, il a écrit deux romans. La découverte de l'Afrique a été un véritable de choc, celle du Mexique et de l'Amérique du Sud plus encore. Ses romans et essais dénoncent la société occidentale, sa domination injustifiée sur d'autres peuples, et la brutalité de la vie urbaine. Son oeuvre lui a valu de recevoir le prix Nobel de littérature en 2008.