Dans «La Vie domestique» d'Isabelle Czajka, Emmanuelle Devos vit une existence faite d'acceptations, de répétitions et de renoncements, dans le décor aseptisé d'une banlieue résidentielle. Jérôme Colin emmène l'actrice pour une course en taxi propice aux confidences. De film en film, elle ne cesse de surprendre par la justesse de son jeu sans esbroufe.
Dans «La Vie domestique» d'Isabelle Czajka, Emmanuelle Devos vit une existence faite d'acceptations, de répétitions et de renoncements, dans le décor aseptisé d'une banlieue résidentielle. Jérôme Colin emmène l'actrice pour une course en taxi propice aux confidences. De film en film, elle ne cesse de surprendre par la justesse de son jeu sans esbroufe.
Dans «La Vie domestique» d'Isabelle Czajka, Emmanuelle Devos vit une existence faite d'acceptations, de répétitions et de renoncements, dans le décor aseptisé d'une banlieue résidentielle. Jérôme Colin emmène l'actrice pour une course en taxi propice aux confidences. De film en film, elle ne cesse de surprendre par la justesse de son jeu sans esbroufe, qui lui a valu en 2002 le César de la meilleure actrice pour «Sur mes lèvres» de Jacques Audiard. En 2010, elle a de nouveau été récompensée par un César, cette fois pour un second rôle dans «A l'origine» de Xavier Giannoli. Fille de comédiens, Emmanuelle Devos a fréquenté le cours Florent et c'est son professeur, Francis Huster, qui lui a offert son premier rôle à l'écran dans «On a volé Charlie Spencer».