Tout autant acteur que citoyen, Vincent Lindon a résolument incarné tout au long de sa carrière des personnages engagés aux prises avec la misère sociale. De «La Crise» à «La Loi du marché», ses choix de scénario ont en commun d'être tous en prise directe avec une réalité politique et sociale. Il n'en est pas autrement avec «Les Chevaliers blancs», un film de Joachim Lafosse.
Tout autant acteur que citoyen, Vincent Lindon a résolument incarné tout au long de sa carrière des personnages engagés aux prises avec la misère sociale. De «La Crise» à «La Loi du marché», ses choix de scénario ont en commun d'être tous en prise directe avec une réalité politique et sociale. Il n'en est pas autrement avec «Les Chevaliers blancs», un film de Joachim Lafosse.
Tout autant acteur que citoyen, Vincent Lindon a résolument incarné tout au long de sa carrière des personnages engagés aux prises avec la misère sociale. De «La Crise» à «La Loi du marché» - pour lequel il a été primé à Cannes - en passant par «Welcome» ou «Toutes nos envies», ses choix de scénario ont en commun d'être tous en prise directe avec une réalité politique et sociale. Il n'en est pas autrement avec «Les Chevaliers blancs», un film de Joachim Lafosse, inspiré par l'affaire de l'Arche de Zoé - des enlèvements d'orphelins africains par une association humanitaire. Vincent Linon y joue un personnage de sauveur aveuglé. Dans son taxi, en 2016, c'est tant l'acteur que le citoyen qu'embarque Jérôme Colin.