En 2018, à l'occasion de la sortie de son premier livre, «Les Rêveurs», Isabelle Carré levait un coin du voile sur son enfance et son adolescence dans une famille un rien décalée. Aristocrates désargentés du côté de sa mère, prolétaires du côté de son père, ce grand écart entre ces deux mondes opposés lui permet d'apprendre à jongler avec les codes sociaux et à s'y adapter.
En 2018, à l'occasion de la sortie de son premier livre, «Les Rêveurs», Isabelle Carré levait un coin du voile sur son enfance et son adolescence dans une famille un rien décalée. Aristocrates désargentés du côté de sa mère, prolétaires du côté de son père, ce grand écart entre ces deux mondes opposés lui permet d'apprendre à jongler avec les codes sociaux et à s'y adapter.
En 2018, à l'occasion de la sortie de son premier livre, «Les Rêveurs», Isabelle Carré levait un coin du voile sur son enfance et son adolescence dans une famille un rien décalée. Aristocrates désargentés du côté de sa mère, prolétaires du côté de son père, ce grand écart entre ces deux mondes opposés lui permet d'apprendre à jongler avec les codes sociaux et à s'y adapter. Dans cette famille un peu bohème, loin d'être carrée, Isabelle a besoin d'être cadrée. Le cadre rigide de la danse classique d'abord, qu'elle abandonnera faute d'aptitude, puis le cadre de la caméra qui la rassurera. Tour à tour ingénue, héroïnomane, infirmière tueuse, mère adoptante, Isabelle Carré est une comédienne aux multiples facettes capable d'interpréter des personnages contrastés, voire torturés.