Depuis le succès de «Louxor j'adore», Philippe Katerine est, contre toute attente, un chanteur populaire. Potache, excessif, c'est un personnage difficile à cerner mais son public l'adore. Le sourire en coin et l'oeil malicieux, il a joyeusement grimpé à bord du taxi de Jérôme Colin, en 2011, pour une promenade dans Bruxelles.
Depuis le succès de «Louxor j'adore», Philippe Katerine est, contre toute attente, un chanteur populaire. Potache, excessif, c'est un personnage difficile à cerner mais son public l'adore. Le sourire en coin et l'oeil malicieux, il a joyeusement grimpé à bord du taxi de Jérôme Colin, en 2011, pour une promenade dans Bruxelles.
Depuis le succès de «Louxor j'adore», Philippe Katerine est, contre toute attente, un chanteur populaire. Potache, excessif, c'est un personnage difficile à cerner mais son public l'adore. Le sourire en coin et l'oeil malicieux, il a joyeusement grimpé à bord du taxi de Jérôme Colin, en 2011, pour une promenade dans Bruxelles. Sur la pochette de son dernier album, Philippe Katerine affiche un air benêt. Il aime cultiver un petit côté idiot du village et entretenir l'énervement qu'il provoque chez certains. Sur le chemin du Musée du slip Jan Bucquoy, auquel il s'est engagé à faire une donation, il raconte son enfance, son opération du coeur à 8 ans, la greffe de peau de cochon, son obsession pour Jésus-Christ. Rejeté par ses petits camarades, il a mené à l'école une vie de vilain petit canard.