"Je vous confirme par écrit que des personnes mal intentionnées essaient actuellement de s'approprier mes biens en me faisant disparaître ou en faisant croire à une mort par suicide. Saine de corps et d'esprit, je n'ai absolument pas l'intention de me suicider." Catherine Cugnot, une rentière nancéienne de 42 ans à la tête d'un important patrimoine immobilier, a envoyé cette lettre à son notaire le 9 octobre 2002. Deux mois et demi plus tard, le 27 décembre, son cadavre est découvert à Bouvron, en Meurthe-et-Moselle, à 30 kilomètres de Nancy.
"Je vous confirme par écrit que des personnes mal intentionnées essaient actuellement de s'approprier mes biens en me faisant disparaître ou en faisant croire à une mort par suicide. Saine de corps et d'esprit, je n'ai absolument pas l'intention de me suicider." Catherine Cugnot, une rentière nancéienne de 42 ans à la tête d'un important patrimoine immobilier, a envoyé cette lettre à son notaire le 9 octobre 2002. Deux mois et demi plus tard, le 27 décembre, son cadavre est découvert à Bouvron, en Meurthe-et-Moselle, à 30 kilomètres de Nancy.