Pour les jeunes Québécois de 18-24 ans, la langue de Shakespeare est une évidence. Mais quel rapport entretiennent-ils avec celle de Molière ?
Ils sont souvent bilingues, voire trilingues, apprennent l'anglais depuis qu'ils parlent, consomment majoritairement de la musique anglophone, des films et des séries en anglais, utilisent des anglicismes. Pour les jeunes Québécois de 18-24 ans, la langue de Shakespeare est une évidence. Mais quel rapport entretiennent-ils avec celle de Molière ?