Plus de deux ans après l'invasion de l'Ukraine par la Russie et alors que la guerre s'enlise, les membres de l'Otan continuent de se mobiliser pour aider militairement et financièrement Kiev. L'Alliance atlantique gardera-t-elle ce cap si Donald Trump retrouvait le chemin de la Maison-Blanche ? Alors même que l'Otan réalise ses plus grandes manoeuvres militaires depuis trente-six ans, le spectre d'une guerre élargie est-il à redouter ? Des soldats occidentaux pourraient-ils un jour être envoyés sur le sol ukrainien ? Dans quel cadre ? Ce tabou, Emmanuel Macron l'a brisé le 26 février 2024, à Paris, à l'issue d'une conférence de soutien à l'Ukraine. Une déclaration loin de faire consensus parmi les chefs d'État ou de gouvernement, comme l'a reconnu le président français.
Plus de deux ans après l'invasion de l'Ukraine par la Russie et alors que la guerre s'enlise, les membres de l'Otan continuent de se mobiliser pour aider militairement et financièrement Kiev. L'Alliance atlantique gardera-t-elle ce cap si Donald Trump retrouvait le chemin de la Maison-Blanche ? Alors même que l'Otan réalise ses plus grandes manoeuvres militaires depuis trente-six ans, le spectre d'une guerre élargie est-il à redouter ? Des soldats occidentaux pourraient-ils un jour être envoyés sur le sol ukrainien ? Dans quel cadre ? Ce tabou, Emmanuel Macron l'a brisé le 26 février 2024, à Paris, à l'issue d'une conférence de soutien à l'Ukraine. Une déclaration loin de faire consensus parmi les chefs d'État ou de gouvernement, comme l'a reconnu le président français.