1922. Alors qu'il va sur ses 77 ans, Gabriel Fauré s'inquiète : «Je n'ai pas deux notes en tête qui valent la peine d'être écrites. Suis-je arrivé à la fin de mes ressources ?». Pas encore ! Une partition cet été-là le prouvera. Et comme d'autres étés, cet été-là, Fauré s'en va en Haute-Savoie.