On ne saura sûrement jamais précisément pour qui pour quoi pour où pour quand Mozart écrit sa symphonie 40. Prise en sandwich entre la 39, positive comme le pain, et la 41, à la positivité aveuglante, elle est le sel central du triptyque, dans l'ombre de ses deux sœurs majeures et sous la surface du vernis viennois.
On ne saura sûrement jamais précisément pour qui pour quoi pour où pour quand Mozart écrit sa symphonie 40. Prise en sandwich entre la 39, positive comme le pain, et la 41, à la positivité aveuglante, elle est le sel central du triptyque, dans l'ombre de ses deux sœurs majeures et sous la surface du vernis viennois.