Après avoir «bourré Bercy» en 2001, «rempli» le Stade de France en 2004 et s'être essayé au cinéma, l'humoriste au langage fleuri signe avec «Mon psy va mieux» un spectacle haut en couleur, réservé aux adultes, pour le meilleur et pour le pire. Qu'on se rassure, Bigard n'est pas devenu, du jour au lendemain, fin psychiatre. En revanche, il garde toujours son étonnant sens de l'observation, comme dans «Les Proverbes à la con», et ses brillantes facultés de déduction, comme dans «Laisse-moi m'aimer». Il ne reste plus qu'à s'allonger sur le divan pour profiter au mieux du spectacle et décommander son prochain rendez-vous avec son thérapeute.
Après avoir «bourré Bercy» en 2001, «rempli» le Stade de France en 2004 et s'être essayé au cinéma, l'humoriste au langage fleuri signe avec «Mon psy va mieux» un spectacle haut en couleur, réservé aux adultes, pour le meilleur et pour le pire. Qu'on se rassure, Bigard n'est pas devenu, du jour au lendemain, fin psychiatre. En revanche, il garde toujours son étonnant sens de l'observation, comme dans «Les Proverbes à la con», et ses brillantes facultés de déduction, comme dans «Laisse-moi m'aimer». Il ne reste plus qu'à s'allonger sur le divan pour profiter au mieux du spectacle et décommander son prochain rendez-vous avec son thérapeute.