Après six décennies d'une carrière jalonnée de trente albums et d'infatigables combats en faveur des droits de l'homme, Joan Baez, «la reine du folk», à l'élégance intacte, a interprété, pieds nus et guitare en bandoulière, les standards de sa vie devant le public ému de l'Olympia, à Paris. De son timbre désormais délicatement voilé, Joan Baez a ainsi entonné les immortels «Don't Think Twice, it's All Right» et «Farewell, Angelina», de Bob Dylan, ou encore «Diamonds and Rust», en duo avec Grace Stumberg, avant un final mémorable au son de «Here's to You», hommage aux anarchistes italo-américains Sacco et Vanzetti envoyés à la chaise électrique en 1927, repris en choeur par la salle.
Après six décennies d'une carrière jalonnée de trente albums et d'infatigables combats en faveur des droits de l'homme, Joan Baez, «la reine du folk», à l'élégance intacte, a interprété, pieds nus et guitare en bandoulière, les standards de sa vie devant le public ému de l'Olympia, à Paris. De son timbre désormais délicatement voilé, Joan Baez a ainsi entonné les immortels «Don't Think Twice, it's All Right» et «Farewell, Angelina», de Bob Dylan, ou encore «Diamonds and Rust», en duo avec Grace Stumberg, avant un final mémorable au son de «Here's to You», hommage aux anarchistes italo-américains Sacco et Vanzetti envoyés à la chaise électrique en 1927, repris en choeur par la salle.