Les petits blessés du quotidien viennent d'eux-mêmes à l'infirmerie du bataillon. Ils ont pris des éclats, des échardes, des égratignures à la tête et au bras, victimes des tirs quotidiens dont le parapet ne protège pas toujours.
Les petits blessés du quotidien viennent d'eux-mêmes à l'infirmerie du bataillon. Ils ont pris des éclats, des échardes, des égratignures à la tête et au bras, victimes des tirs quotidiens dont le parapet ne protège pas toujours.