Au Burkina Faso, Kadoua Yogo, une veuve de 53 ans, oeuvre pour la préservation des arbres à karité, intimement liés au sort des éléphants.
Depuis des siècles, le peuple kassena utilise les fruits de l'arbre à karité afin d'en extraire les éléments nutritifs. Au sud du Burkina Faso, Kadoua Yogo espère un avenir meilleur pour les siens grâce à la vente du beurre de karité. Une bande de forêt toute proche du village bénéficie ainsi d'une forte densité d'arbres à karité. Mais au fil des ans, ce corridor se réduit au profit de plantations de coton.