"La musique a trop souvent rêvé ; nous voulons maintenant nous réveiller. Nous étions des somnambules ; nous voulons devenir des rêveurs éveillés." La phrase du philosophe Nietzsche figure en exergue de la partition librement adaptée de son livre. Mais Richard Strauss, qui composa l'oeuvre en 1896, se défendit d'en avoir fait une lecture philosophique. Un vaste tableau de l'évolution humaine d'après le philosophe, de l'aube de l'humanité au surhomme, voilà ce que le compositeur peignit en huit tableaux, hauts en couleur, imposants, grandioses. Le livre était d'une poésie délicate et profonde, la partition en restitue la couleur, à travers une formation d'une grande diversité.
"La musique a trop souvent rêvé ; nous voulons maintenant nous réveiller. Nous étions des somnambules ; nous voulons devenir des rêveurs éveillés." La phrase du philosophe Nietzsche figure en exergue de la partition librement adaptée de son livre. Mais Richard Strauss, qui composa l'oeuvre en 1896, se défendit d'en avoir fait une lecture philosophique. Un vaste tableau de l'évolution humaine d'après le philosophe, de l'aube de l'humanité au surhomme, voilà ce que le compositeur peignit en huit tableaux, hauts en couleur, imposants, grandioses. Le livre était d'une poésie délicate et profonde, la partition en restitue la couleur, à travers une formation d'une grande diversité.
l'Orchestre philharmonique de Berlin