En 1975, Chantal Akerman se fait connaître avec son troisième long métrage, «Jeanne Dielman 23, quai du commerce, 1080 Bruxelles», qui confirme les orientations artistiques de la réalisatrice. Depuis, elle continue d'explorer dans ses films les thèmes de la quête d'identité et de l'errance. En 1996, «Un divan à New York» marque un retour vers un cinéma plus accessible.
En 1975, Chantal Akerman se fait connaître avec son troisième long métrage, «Jeanne Dielman 23, quai du commerce, 1080 Bruxelles», qui confirme les orientations artistiques de la réalisatrice. Depuis, elle continue d'explorer dans ses films les thèmes de la quête d'identité et de l'errance. En 1996, «Un divan à New York» marque un retour vers un cinéma plus accessible.
En 1975, Chantal Akerman se fait connaître avec son troisième long métrage, «Jeanne Dielman 23, quai du commerce, 1080 Bruxelles», qui confirme les orientations artistiques de la réalisatrice. Pendant près de trois heures trente, elle distord les réalités et réduit les dialogues au minimum. Le film, qui traite de la vie d'une prostituée occasionnelle, marqua sa rencontre avec Delphine Seyrig, une comédienne qu'elle dirigea à trois reprises, notamment dans la comédie musicale «Golden Eighties» en 1986. Tout en poursuivant ses recherches dans des documentaires expérimentaux, elle réalise son film le plus académique en 1978, avec «Les Rendez-vous d'Anna». En 1996, Chantal Akerman aborde un cinéma plus accessible avec «Un divan à New York».