Philippe Reynaert renoue avec la tradition du Cinémascope de Sélim Sasson et propose trois grands entretiens avec trois personnalités du cinéma belge. Après Benoît Mariage et avant Natacha Régnier, il retrace la carrière du cinéaste Jaco Van Dormael, à qui l'on doit deux perles du cinéma belge remarquées à Cannes : «Toto le héros», en 1991, et «Le Huitième Jour», en 1996.
Philippe Reynaert renoue avec la tradition du Cinémascope de Sélim Sasson et propose trois grands entretiens avec trois personnalités du cinéma belge. Après Benoît Mariage et avant Natacha Régnier, il retrace la carrière du cinéaste Jaco Van Dormael, à qui l'on doit deux perles du cinéma belge remarquées à Cannes : «Toto le héros», en 1991, et «Le Huitième Jour», en 1996.
Philippe Reynaert renoue avec la tradition du Cinémascope de Sélim Sasson et propose trois grands entretiens avec trois personnalités du cinéma belge. Après Benoît Mariage et avant Natacha Régnier, il retrace la carrière du cinéaste Jaco Van Dormael, à qui l'on doit deux perles du cinéma belge remarquées à Cannes : «Toto le héros», en 1991, et «Le Huitième Jour», en 1996. Né en 1957, le réalisateur a fait ses études à l'INSAS, avant de devenir metteur en scène de théâtre pour enfants et clown. En 1982, il réalisait son premier court métrage, «L'Imitateur», consacré aux ados trisomiques. Lors de cette rencontre, Jaco Van Dormael évoque sa carrière et sa passion pour le cinéma. A travers ses propos et des extraits de films, on découvre un homme sensible et généreux.