C'est en 1975 que l'Américain John Neumeier chorégraphie pour la première fois une symphonie de Gustav Mahler, la troisième. Depuis, le compositeur autrichien ne l'a plus vraiment quitté. Toute l'oeuvre de John Neumeier repose sur une sensibilité musicale singulière, mais c'est probablement chez le compositeur autrichein Gustav Mahler que le chorégraphe, en perpétuel questionnement sur la condition humaine, a trouvé le plus de correspondances à ses propres préoccupations. Osmose parfaite entre la musique et la danse, la pièce est traversée d'une palette d'émotions, de l'angoisse existentielle à l'espérance mystique.
C'est en 1975 que l'Américain John Neumeier chorégraphie pour la première fois une symphonie de Gustav Mahler, la troisième. Depuis, le compositeur autrichien ne l'a plus vraiment quitté. Toute l'oeuvre de John Neumeier repose sur une sensibilité musicale singulière, mais c'est probablement chez le compositeur autrichein Gustav Mahler que le chorégraphe, en perpétuel questionnement sur la condition humaine, a trouvé le plus de correspondances à ses propres préoccupations. Osmose parfaite entre la musique et la danse, la pièce est traversée d'une palette d'émotions, de l'angoisse existentielle à l'espérance mystique.
L'Orchestre de l'Opéra national de Paris