En 1988, quatre ans après la mort de Grégory, la cour d'appel de Nancy nomme un nouveau juge pour remplacer Jean-Michel Lambert : Maurice Simon, doyen du tribunal de Dijon.
Quatre ans après la mort de Grégory, la cour d'appel de Nancy rejette le dossier à charge du «petit juge» Lambert et en nomme un nouveau, Maurice Simon, doyen et véritable légende vivante du tribunal de Dijon. Celui-ci reprend l'enquête depuis le début. Très rapidement, grâce à de nombreuses reconstitutions, ce magistrat expérimenté est persuadé de l'innocence de Christine Villemin, la maman de Grégory. Mais, comme d'autres avant lui, le juge Simon est frappé d'une sorte de fièvre passionnelle qui tourne à l'obsession. Il bascule dans une croisade personnelle pour blanchir celle qu'il considère comme une héroïne, Christine Villemin, et, surtout, identifier l'assassin du petit Grégory.