En 1928, Jean Epstein tourne le dos à l'industrie du cinéma pour suivre une voie créative plus personnelle : son cycle breton en constitue l'un des sommets.
En 1928, au sommet de sa carrière, Jean Epstein rompt avec l'industrie du cinéma et décide de suivre une voie plus personnelle et novatrice. Il filme la Bretagne, ses îles et leurs habitants, axant davantage son propos sur l'exploration quasi ethnographique des lieux que sur la construction narrative. La nature devient un des acteurs majeurs de son cinéma. Le documentariste James Schneider arpente les grèves, filme les phares et écoute le bruit de la mer, sur les traces de Jean Epstein et de son oeuvre poétique.