Dans l'église de la Sainte-Trinité, à Stratford-upon-Avon, la pierre tombale de William Shakespeare porte une énigmatique épitaphe ; une historienne étudie ce mystère.
400 ans après la mort de Shakespeare, l'historienne britannique Helen Castor cherche à résoudre le mystère que représente sa tombe. Située dans une petite église anglaise, à Stratford-upon-Avon, celle-ci présente une pierre tombale anormalement courte sur laquelle est gravée une mystérieuse épitaphe s'achevant par les mots «Béni soit celui qui épargne ces pierres. Et maudit soit celui qui déplace mes os». Que signifient ces paroles ? De très anciennes rumeurs de pillage laissent supposer que le corps du célèbre dramaturge aurait pu être emporté ailleurs. Qu'en est-il ?