Il y a 25 ans, la frénésie immobilière menaçait de destruction les quartiers populaires d'Outremeuse. Soucieux de conserver intactes les traditions de la région, le bourgmestre de Saint-Pholien avait alors livré campagne dans sa commune afin de récolter de l'argent pour les préparatifs de la fête paroissiale. Qu'est devenue cette fête aujourd'hui ?
Il y a 25 ans, la frénésie immobilière menaçait de destruction les quartiers populaires d'Outremeuse. Soucieux de conserver intactes les traditions de la région, le bourgmestre de Saint-Pholien avait alors livré campagne dans sa commune afin de récolter de l'argent pour les préparatifs de la fête paroissiale. Qu'est devenue cette fête aujourd'hui ?
Il y a 25 ans, la frénésie immobilière menaçait de destruction les quartiers populaires d'Outremeuse. Soucieux de conserver intactes les traditions de la région, le bourgmestre de Saint-Pholien avait alors livré campagne dans sa commune pour les préparatifs de la fête paroissiale. Dans ce film, on le découvre en train de faire du porte à porte pour recueillir quelques sous afin de payer les «aubades», les «carillons» et la musique qui doivent animer la fête. Dans les cafés, où les habitués ont cotisé toute l'année durant, on casse les tirelires pour récolter l'argent qui servira à confectionner le «bouquet», arbre de mai orné de fleurs et de rubans. Vingt-cinq ans plus tard, qu'en est-il de cette fête populaire qui faisait la joie des habitants ?