Dominique Rizet s'intéresse à l'utilisation du portrait-robot, en revenant sur plusieurs affaires au cours desquelles celui-ci a joué un rôle important.
Quand une enquête est dans l'impasse et qu'un témoin a pu voir le suspect, le portrait-robot peut être un outil utile aux policiers. Placardé dans les commissariats, publié à la une des journaux, il peut à lui seul faire rebondir l'enquête. Mais le portrait-robot est aussi un outil très décrié. Dominique Rizet revient sur plusieurs affaires dans lesquelles il a joué un rôle important, comme celles de Thierry Paulin, «le tueur de vieilles dames», du violeur en série Jean-Jacques Prevost et, enfin, de Marcel Barbeault, «le tueur de l'ombre».