Le mot «alegria» signifie «allégresse» en espagnol. Dans ce spectacle, la célèbre troupe québécoise, fondée en 1984, évoque la mutation entre les monarchies anciennes et les démocraties contemporaines. Le pouvoir et son évolution au cours des âges, le passage de la jeunesse à la vieillesse, forment la toile de fond sur laquelle les personnages d'«Alegria» évoluent. Cet univers est habité par des fous du roi, des ménestrels, des gueux, des aristocrates, des enfants, mais aussi des clowns. Comme toujours, les numéros oscillent entre la performance, la poésie, la chorégraphie, la musique et le rêve. Quatorze caméras et des éclairages spéciaux ont permis de saisir l'essence des prestations des artistes. Conçu il y a vingt ans, applaudi par plus de dix millions de spectateurs, «Alegría» s'arrête définitivement fin décembre 2013 en France, à Lille.
Le mot «alegria» signifie «allégresse» en espagnol. Dans ce spectacle, la célèbre troupe québécoise, fondée en 1984, évoque la mutation entre les monarchies anciennes et les démocraties contemporaines. Le pouvoir et son évolution au cours des âges, le passage de la jeunesse à la vieillesse, forment la toile de fond sur laquelle les personnages d'«Alegria» évoluent. Cet univers est habité par des fous du roi, des ménestrels, des gueux, des aristocrates, des enfants, mais aussi des clowns. Comme toujours, les numéros oscillent entre la performance, la poésie, la chorégraphie, la musique et le rêve. Quatorze caméras et des éclairages spéciaux ont permis de saisir l'essence des prestations des artistes. Conçu il y a vingt ans, applaudi par plus de dix millions de spectateurs, «Alegría» s'arrête définitivement fin décembre 2013 en France, à Lille.