En 1974, Hamida Djandoubi est condamné pour le meurtre d'Elisabeth Bousquet et décapité alors que la France se dirige vers l'abolition de la peine de mort.
En juillet 1974, sous les yeux des deux femmes qui vivent avec lui, Hamida Djandoubi viole, torture et tue Elisabeth Bousquet, qui avait porté plainte contre lui plusieurs années auparavant. A l'époque, son avocat ignore que la société française se dirige vers l'abolition de la peine de mort et que son client sera le dernier décapité. Il compte d'avantage sur la grâce qui lui semblait promise par Valéry Giscard d'Estaing et qui sera pourtant refusée. Avec la juge d'instruction et l'avocat de la famille Bousquet, ils font revivre ce procès qui n'avait pas fait grand bruit à l'époque contrairement à celui de Christian Ranucci.