Les élections municipales sont un camouflet pour Erdogan. Les raisons ? Un vote sanction dû à l'inflation galopante ; l'absence du vote de la diaspora - très favorable à Erdogan ; l'émergence d'un nouveau parti islamiste, le Refah, qui reproche entre autres au président de ne pas assez soutenir les Palestiniens. Bref, les bases électorales de l'AKP chancèlent. Sortons nos cartes.
Les élections municipales sont un camouflet pour Erdogan. Les raisons ? Un vote sanction dû à l'inflation galopante ; l'absence du vote de la diaspora - très favorable à Erdogan ; l'émergence d'un nouveau parti islamiste, le Refah, qui reproche entre autres au président de ne pas assez soutenir les Palestiniens. Bref, les bases électorales de l'AKP chancèlent. Sortons nos cartes.