Chaque année, les plages cubaines et le cocktail «rhum, salsa et jolies filles» attirent plus de 2,5 millions de touristes. Mais derrière la carte postale, vit un autre Cuba : celui des tickets de rationnement, du travail au noir et du manque de liberté. Pour les onze millions d'habitants de l'île, la priorité est souvent de survivre. Un reportage de Camille Vila.
Chaque année, les plages cubaines et le cocktail «rhum, salsa et jolies filles» attirent plus de 2,5 millions de touristes. Mais derrière la carte postale, vit un autre Cuba : celui des tickets de rationnement, du travail au noir et du manque de liberté. Pour les onze millions d'habitants de l'île, la priorité est souvent de survivre. Un reportage de Camille Vila.
Chaque année, les plages cubaines et le cocktail «rhum, salsa et jolies filles» attirent plus de 2,5 millions de touristes. Mais derrière la carte postale, vit un autre Cuba : celui des tickets de rationnement, du travail au noir et du manque de libertés. La police est omniprésente et les restrictions nombreuses. Mais la résistance s'organise : une nouvelle génération de bloggeurs, de graphistes et de musiciens se bat pour faire tomber le régime. Des réformes économiques ont certes été entreprises depuis un an, néanmoins le quotidien reste difficile. S'il est aujourd'hui permis d'acquérir une maison ou une voiture, il est en revanche toujours interdit (et passible de prison) d'acheter du boeuf ou de pêcher de la langouste, des mets réservés aux touristes et à l'exportation.