La Tanzanie et l'archipel de Zanzibar sont devenus des destinations touristiques très prisées. Cela s'accompagne d'effets pervers, comme la construction d'infrastructures au détriment de la population locale, qui doit aller travailler dans des mines, et ne participe pas à améliorer le sort des Tanzaniens.
La Tanzanie et l'archipel de Zanzibar sont devenus des destinations touristiques très prisées. Cela s'accompagne d'effets pervers, comme la construction d'infrastructures au détriment de la population locale, qui doit aller travailler dans des mines, et ne participe pas à améliorer le sort des Tanzaniens.
Avec leurs paysages somptueux, la Tanzanie et l'archipel de Zanzibar attirent de plus en plus de touristes, dont le nombre à triplé en dix ans. Les visiteurs viennent découvrir ce pays dont certaines régions sont classées au patrimoine mondial de l'humanité. Mais ce développement du tourisme a des effets pervers : la construction de nouvelles infrastructures se fait au détriment de la population locale, qui, expropriée, doit aller travailler dans les mines du pays. Plus d'un quart des Tanzaniens vit sous le seuil de pauvreté national et moins d'un jeune sur trois est scolarisé dans le secondaire. Cela favorise la perpétuation de traditions macabres, comme celles qui menacent les albinos, souvent mis à mort par superstition.