En 2005, un Italien, Massimo De Caro, trompe le monde du livre, en proposant un exemplaire unique du «Sidereus nuncius», signé de la main même de Galilée.
En 2005, un Italien, Massimo De Caro, trompe le monde du livre, en proposant un exemplaire unique du «Sidereus nuncius», signé de la main même de Galilée.