Tanguy Dumortier et le conseiller scientifique Johan Michaux se rendent dans la région du Languedoc, et plus précisément dans le Parc régional des Grands Causses. En plein coeur de cette zone désertique, ils sont partis à la rencontre d'une série d'espèces réintroduites avec plus ou moins de succès ces dernières années. C'est le cas des chevaux de Przevalski et de plusieurs espèces de vautours.
Tanguy Dumortier et le conseiller scientifique Johan Michaux se rendent dans la région du Languedoc, et plus précisément dans le Parc régional des Grands Causses. En plein coeur de cette zone désertique, ils sont partis à la rencontre d'une série d'espèces réintroduites avec plus ou moins de succès ces dernières années. C'est le cas des chevaux de Przevalski et de plusieurs espèces de vautours.
Tanguy Dumortier et le conseiller scientifique Johan Michaux se rendent dans la région du Languedoc, et plus précisément dans le Parc régional des Grands Causses. En plein coeur de cette zone désertique, ils sont partis à la rencontre d'une série d'espèces réintroduites avec plus ou moins de succès ces dernières années. C'est le cas des chevaux de Przevalski, qui ressemblent aux équidés peints dans les grottes de Lascaux. Robustes, sauvages, agressifs, ces chevaux à la robe beige semblent appartenir à un autre temps. Ils n'étaient plus que treize sur la planète lorsque l'association Takh a décidé de leur venir en aide. Plusieurs projets de réintroduction ont été menés en Mongolie, où ils vivaient initialement, mais aussi dans d'autres pays.