Sous le Troisième Reich, les autorités ont fait du sport un outil de propagande majeur et déploient des moyens important pour le promouvoir.
Sous le Troisième Reich, Joseph Goebbels, ministre de la Propagande, saisit très vite que le sport peut servir sa cause. Il aryanise les activités physiques et tente de rallier les champions du pays au régime. Sympathisants ou suiveurs, ces ambassadeurs se prêtent au jeu sans réfléchir. A commencer par le boxeur Max Schmeling, champion du monde des poids lourds, ou le pilote automobile Bernd Rosemeyer. Les moyens mis à disposition de ces sportifs sont exceptionnels. Mais, à force de surenchère, ils vont rapidement atteindre leurs limites, et révéler que les autoproclamés surhommes sont faillibles.