La "mort cérébrale", définie en 1968, est la condition sine qua non pour autoriser le prélèvement d'organes sur un donneur. Mais que signifie ce concept ?
Depuis la première transplantation cardiaque réussie en 1967, les greffes d'organes sont entrées dans le quotidien des hôpitaux du monde entier. Pourtant, les candidats au don semblent paradoxalement de moins en moins nombreux. D'où la question, philosophique et éthique : pourquoi tant de personnes – dont des scientifiques – restent-elles sceptiques vis-à-vis de cette pratique qui sauve pourtant des vies ?