Les Honduriens qui vivent dans les provinces les plus reculées du pays dépendent d'une poignée de personnes qui ont le courage d'arpenter des routes à l'état déplorable.
Au Honduras, mieux vaut s'armer de courage pour arpenter les semblants de routes qui mènent aux provinces les plus reculées, notamment pendant la saison des pluies. Pourtant, des milliers de Honduriens continuent de vivre dans ces contrées coupées du monde. Leur seul lien avec la société, ces villageois le doivent à une poignée de personnes qui trouvent le courage d'arpenter ces routes à l'état déplorable.