Autour du manoir britannique se cristallise une organisation sociale bien établie entre nobles et domestiques, remise en cause par la Première Guerre mondiale.
Au début du XXe siècle, deux mondes coexistent en Grande-Bretagne : celui des aristocrates et celui des domestiques. Alors que les riches familles profitent sans complexes d'une vie de luxe et de loisirs, leurs servants sont totalement dévoués au bien-être de leurs maîtres et à l'entretien de leurs manoirs pour un salaire insignifiant. Un système bouleversé par la Première Guerre mondiale.