Dans les territoires d'Outre-mer, la jeunesse s'attaque aux symboles du passé raciste, esclavagiste et colonial dans une aspiration à une société plus juste.
Dans les territoires d'Outre-mer, mais aussi en France métropolitaine, militants et intellectuels engagés dans la lutte contre le racisme s'attaquent aux traces matérielles du passé, comme des statues. En dénonçant la présence de certaines statues ou plaques de rues, vestiges de l'esclavage et de la colonisation, ils appellent à une reconnaissance d'une histoire occultée et une société plus juste.