A ce jour, on ignore toujours à quelle occasion Mozart écrivit ses «Symphonie n°40» en sol mineur, KV 550, et «Symphonie n°41» en do majeur, KV 551. Et l'on ignore tout autant à quelle occasion elles furent jouées pour la première fois, ni même si le compositeur a pu les entendre avant sa mort. Pour Simon Rattle, elles représentaient un défi d'interprétation de tout premier ordre.
A ce jour, on ignore toujours à quelle occasion Mozart écrivit ses «Symphonie n°40» en sol mineur, KV 550, et «Symphonie n°41» en do majeur, KV 551. Et l'on ignore tout autant à quelle occasion elles furent jouées pour la première fois, ni même si le compositeur a pu les entendre avant sa mort. Pour Simon Rattle, elles représentaient un défi d'interprétation de tout premier ordre.
L'Orchestre philharmonique de Berlin