Au Liban, malgré la paix conclue entre les différentes factions politiques et religieuses, la situation demeure fragile : la région reste une poudrière.
Après l'accord de paix signé entre différentes factions politiques et religieuses, le Liban retrouve provisoirement le calme et tente d'effacer les traces visibles de son passé, marqué par la guerre civile. Il n'y a pas de manuel scolaire pour raconter l'Histoire. Les Libanais décrivent la reconstruction de leur capitale. Avec le départ des troupes d'occupation israéliennes et syriennes, beaucoup retrouvent l'espoir. Mais dans le chaudron du Moyen-Orient, la paix reste fragile. D'autres lignes de démarcation, invisibles celles-ci, séparent toujours les habitants. En 2012, le printemps arabe révèle à la fois les différences et l'absolue nécessité de vivre ensemble.