Après «2084 : La Fin du monde» en 2015, Boualem Sansal revient avec un nouveau roman dystopique, «Le Train d'Erlingen», publié chez Gallimard. Dans un petit village allemand assiégé par un ennemi fanatique, une mère écrit à sa fille, évoquant avec colère et emphase le monde qui s'effondre. L'équipe et le lecteur du jour, le père Luc Moës, s'entretiennent sur ce roman-fable.
Après «2084 : La Fin du monde» en 2015, Boualem Sansal revient avec un nouveau roman dystopique, «Le Train d'Erlingen», publié chez Gallimard. Dans un petit village allemand assiégé par un ennemi fanatique, une mère écrit à sa fille, évoquant avec colère et emphase le monde qui s'effondre. L'équipe et le lecteur du jour, le père Luc Moës, s'entretiennent sur ce roman-fable.
Après «2084 : La Fin du monde» en 2015, Boualem Sansal revient avec un nouveau roman dystopique, «Le Train d'Erlingen ou La Métamorphose de Dieu», publié chez Gallimard. Dans un petit village allemand assiégé par un ennemi fanatique, une mère écrit à sa fille, décrivant avec colère et emphase le monde qui s'effondre et racontant le quotidien de ceux qui attendent en vain l'arrivée d'un train salutaire censé les évacuer. L'équipe et le lecteur du jour, le père Luc Moës, de l'abbaye de Maredsous, s'entretiennent sur ce roman-fable, qui parle des peurs qui nous hantent et du radicalisme religieux, déjà évoqué dans le roman «2084».